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James Bond 007 – Mourir peut attendre – Synopsis


L’épisode qui fait suite à Spectre. James Bond 007 est incarné une dernière fois par Daniel Craig. Notre héros va être rattrapé par son passé et celui de Madeleine. Alors qu’il a trouvé refuge en Jamaïque, Felix Leiter de la CIA débarque pour solliciter son aide : il s’agit de sauver un scientifique qui vient d’être kidnappé. Une fois encore, il va être confronté à un méchant qui détient des armes technologiques redoutables.

Mourir peut attendre – Critique du film


Ultime prestation de Daniel Craig dans le rôle de l’agent 007. Clairement, ce dernier épisode s’avère en demi-teinte. La scène d’ouverture demeure diablement réussie, tout en tension et en émotions.

Mais rapidement, la machine grippe. La faute à un scénario paresseux. Aucune surprise, aucun rebondissement, aucune chausse-trappe. Sans pour autant verser dans le manichéisme de Tenet, Mourir peut attendre enchaine les scènes d’action, sans jamais prendre le contrepied ou dévoiler des zones d’ombres.

Mourir peut attendre manque d’imagination


On aurait aimé davantage de revirements. A contrario, les scénaristes manquent clairement d’imagination. Symptôme de cette impasse, le rôle du méchant (Rami Malek – alias Freddie Mercury dans Bohemian Rhapsody) qui manque clairement d’aspérité, de charisme, et ne restera pas dans les annales.

En somme, Mourir peut attendre offre ses moments de bravoures et de grand spectacle, avec ses passages obligés. Mais l’intrigue ne nous épargne pas une nouvelle menace chimique, dans la droite lignée des Mission : Impossible.


Sans omettre une séquence en forêt qui n’est pas sans évoquer celle du récent Fast and Furious 9, avec les mêmes véhicules bondissants. Les similitudes sont flagrantes.

Mourir peut attendre souffre de longueurs


Pour autant, tout n’est pas à jeter dans Mourir peut attendre. Son principal atout demeure l’épilogue, qui permet des choix audacieux en raison du choix de Daniel Craig d’incarner pour la dernière fois 007. Une conclusion radicale, mais qui ne manque pas de panache.


Cette séquence finale n’a pas la même tension dramatique que la scène de rupture dans la gare, preuve que le long-métrage parcourt des chemins bien trop balisés et aurait mérité un montage plus resserré. Ainsi, les failles narratives nous sortent trop souvent de l’émotion que le film veut susciter. De plus, on déplore les seconds rôles insipides,  et  le rythme décousu.

Mourir peut attendre, sans pour autant démériter, n’atteint pas les sommets et la saveur douce-amère d’un Skyfall

En somme, Mourir peut attendre, sans pour autant démériter, n’atteint pas les sommets et la saveur douce-amère d’un Skyfall ou le côté sombre d’un Casino Royale. Le long-métrage de Cary Joji Fukunaga  restera comme un chapitre mineur, au même titre que Spectre ou l’oubliable Quantum of Solace.

Le personnage James Bond de Daniel Craig demeurera évidemment dans l’Histoire comme l’un des plus marquants. Mais pas pour ce long-métrage élégiaque.

Hervé Troccaz

Mourir peut attendre – Critique

Après Casino Royale, Quantum of Solace, Skyfall et Spectre, Daniel Craig quitte le costume de James Bond dans Mourir peut attendre. Un 25ème épisode né dans la douleur, entre le départ du réalisateur Danny Boyle, puis la sortie repoussée à cause du confinement  

Ce film d’action très attendu  par les inconditionnels du genre offre une fois de plus son lot de cascades et de gadgets en tout genre, à l’instar de la légendaire Aston Martin, mais aussi une bonne dose d’émotion.

Voilà un Bond sombre, sauvage, contraint de questionner son passé, son métier et son rapport aux femmes. Ce sont ses traumas sentimentaux qui sont ici auscultés, donnant à Mourir peut attendre une étrange singularité.

C’est assez divertissant par moment grâce aussi aux merveilleux paysages mais d’un romantisme inadapté au genre.

Si la réalisation est élégante et par moment stylée, les scènes d’action en elles-mêmes sont peu originales: quelques poursuites en voiture, beaucoup de fusillades, un peu de corps à corps, quelques baisers biens sages et vraiment rien qui n’ait déjà été vu avant.

Mourir peut attendre : un scénario bavard et confus


Le film essaie à plusieurs reprises de jouer la carte de l’émotion, mais n’y parvient pas souvent. C’est long, trop long et le chant du cygne n’en finit pas, malgré une mise en scène qui masque les imperfections, défauts et maladresses de l’histoire

Décidément, l’interprétation nsipide de Léa Seydoux ne passe pas à l’écran et ça n’aide pas que son personnage soit au centre du film.

Seul le jeu parfait de la petite fille est convainquant et nous crée de véritables émotions.

Le scénario bavard et confus est parfois incohérent, notamment dans les motivations du personnage de Rami Malek qui est censé interpréter un vrai méchant 

Heureusement que la BO de Zimmer est très efficace avec des sonorités à la The Dark Knight par instants.

Pour les fans du genre, disons que cela reste  un bon divertissant 

Gérard SERIE 

Mourir peut attendre – bande-annonce

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