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Après une série de nombreuses annonces, le Festival Lumière 2023 dévoile officiellement ce mardi matin sa programmation complète. La billetterie ouvre simultanément. Une quinzième édition qui s’annonce grandiose !

Depuis plusieurs semaines, l’équipe de l’Institut Lumière distille les informations concernant la programmation de cette nouvelle édition : Prix Lumière remis à Wim Wenders, venue de cinéastes de renom comme Wes Anderson, Alexander Payne et Karin Viard pour des master-class, projection de films en avant-première (le garçon et le héron d’Hiyao Miyazaki), hommages à Ozu et Robert Altman.

Du côté des ciné-concerts, on pourra savourer un voyage symphonique à travers les musiques préférées du regretté Bertrand Tavernier décédé en 2021, qui fut pendant près de 40 ans le Président de l’Institut Lumière. Sans oublier une Nuit Star Wars à la Halle Tony Garnier.

Après plusieurs semaines de suspens, l’équipe dévoile enfin la programmation complète de l’évènement ce mardi matin. Dans la foulée la billetterie ouvrira au grand public.

Bien qu’existant aujourd’hui fortement sur la carte des festivals de cinéma de dimension internationale, le festival Lumière a su conserver un ancrage local très fort, travaillant avec les acteurs de l’événementiel de la Métropole de Lyon, les associations de terrain, les spectateurs lyonnais. Cela n’était jamais arrivé jusque là : Lyon, ville natale du cinéma, a enfin son festival de cinéma d’importance mondiale.

Sommaire

Prix Lumière : Wim Wenders

Wim Wenders a incarné le renouveau du cinéma allemand et européen au tournant des années 1970-1980.
Il a été l’un des premiers cinéastes invités par l’Institut Lumière en 1991, il n’est depuis jamais revenu rue du
Premier-Film. Célébrer à Lyon, dans la ville de naissance du Cinématographe Lumière, ce cinéaste voyageur, virtuose polymorphe et visionnaire, photographe accompli, qui n’a cessé de se réinventer et a eu mille vies, était une évidence depuis longtemps. Ses films affirment son style et ses thématiques phares : l’errance, le voyage, la solitude, mais aussi une certaine mythologie du road trip à l’américaine, comme Alice dansles villes, Faux mouvement, Au fil du temps ou encore L’Ami américain. Une série de films par laquelle il
acquiert la reconnaissance des grands festivals internationaux et éveille l’intérêt du public mondial et de
l’industrie américaine. Il est l’homme de Paris, Texas et des Ailes du désir, celui qui mène une pleine carrière
de documentariste, signant des films sur la chorégraphe allemande Pina Bausch, le photographe brésilien
Sebastião Salgado, le cinéaste japonais Yasujiro Ozu… Et il vient d’effectuer, en 2023, un étourdissant doublé avec ses deux nouveaux films : Anselm – Le Bruit du temps et Perfect Days.

Wim Wenders recevra le 15e Prix Lumière vendredi 20 octobre 2023 à l’Amphithéâtre de la Cité Internationale. Plus tôt dans l’après-midi, il donnera une master class au Théâtre des Célestins animée par Thierry Frémaux.

Rétrospective

Rétrospective des films de Wim Wenders, fictions et documentaires, en copies restaurées, en présence du cinéaste. En collaboration avec Les Films du Losange, Haut et Court, Paradis Films, Pathé, Tamasa et la Fondation Wim Wenders.
Alice dans les villes (Alice in den Städten, 1974, 1h52)

Faux mouvement (Falsche Bewegung, 1975, 1h43)
Au fil du temps (Im Lauf der Zeit, 1976, 2h55)
L’Ami américain (Der amerikanische Freund, 1977, 2h06, int -12ans)
L’État des choses (Der Stand der Dinge, 1982, 2h01)
Paris, Texas (1984, 2h28)
Les Ailes du désir (Der Himmel über Berlin, 1987, 2h08)
Jusqu’au bout du monde – Director’s cut (Bis ans Ende der Welt – Director’s cut, 1991-1994, 4h47 – 1re partie 2h12, 2e partie 2h35)
Lisbonne Story (Lisbon Story, 1994, 1h43)
Par-delà les nuages (avec Michelangelo Antonioni, Al di là delle nuvole, 1995, 1h52)
The Million Dollar Hotel (2000, 2h04)
Don’t Come Knocking (2005, 2h02)
Documentaires
Nick’s Movie (avec Nicholas Ray, Lightning Over Water, 1980, 1h30)
Chambre 666 (Documentaire, 1982, 47min)
Chambre 999 de Lubna Playoust (Documentaire, 2023, 1h25)
Tokyo-Ga (Documentaire, 1985, 1h32)
Buena Vista Social Club (Documentaire, 1999, 1h45)

Événements

– Avant-première de Perfect Days (Prix d›interprétation masculine pour Koji Yakusho au Festival de Cannes, sortie en salle le 29 novembre 2023. Distribution France : Haut et Court) présentée par Wim Wenders.

– Projections du documentaire Anselm, le bruit du temps (sortie en salle le 18 octobre 2023. Distribution France : Les films du Losange), présentées par Wim Wenders.

Expositions :

En collaboration avec Wim Wenders Stiftung et Wenders Images.

Un programme de trois expositions photographiques pour explorer l’immense travail de photographe de Wim Wenders dans les galeries de l’Institut Lumière.

UNE FOIS : photos et histoires de Wim Wenders – galerie rue du Premier-Film, Lyon 8e Wim Wenders : arrêt sur image – galerie rue de l’Arbre sec, Lyon 1er
LIEUX INSOLITES : photographies de Wim Wenders – galerie rue Pleney, Lyon 1er

L’hommage de Wim Wenders à Sam Shepard

Hommage à Sam Shepard par Wim Wenders
Les Moissons du ciel de Terrence Malick (Days of Heaven, 1978, 1h34)

Carte blanche à Wim Wenders

Trois films choisis par le cinéaste pour son séjour lyonnais : Wanda de Barbara Loden (1970, 1h37)
Beau travail de Claire Denis (1999, 1h33)
Enter the Void de Gaspar Noé (2009, 2h41, int -16ans)

Festival Lumière 2023 : Rétrospective Denys de La Patellière

Denys de La Patellière (1921-2013) était surtout un gage de succès : 15 films au-dessus du million d’entrées, et parmi eux le triomphe de Un taxi pour Tobrouk, 5 millions de spectateurs à sa sortie en 1961 et plus encore au gré des rediffusions télé. Le cinéaste tenait beaucoup à cette satire antimilitariste dialoguée par Michel Audiard et dénonçant l’absurdité de la guerre. Un fil autobiographique ténu traverse son parcours : ainsi, dans Les Aristocrates, son premier film qu’il réalise grâce à Pierre Fresnay, La Patellière se souvient-il de sa propre jeunesse au cœur d’une famille noble terrienne désargentée. Le scénario, qu’il a coécrit (comme pour la plupart de ses films) est tiré d’un roman de Michel de Saint-Pierre et son goût de la littérature le portera régulièrement à s’appuyer sur des romanciers, dans des genres très divers : James Hadley Chase pour Retour de manivelle (1957), Maurice Druon pour Les Grandes familles (1958), Bernard Clavel pour Le Tonnerre de Dieu (1965)… Ses atouts : les grandes vedettes de l’époque (Jean Gabin et Pierre Fresnay, donc, mais aussi Danielle Darrieux, Lino Ventura, Fernandel, Jeanne Moreau, Charles Aznavour, Michèle Morgan, Michel Simon), un grand savoir-faire technique et parfois les dialogues percutants de Michel Audiard.

Des restaurations TF1 Studio, Gaumont, Studiocanal, et une copie rare du Salaire du péché des Films du Jeudi.

Les Aristocrates (1955, 1h40)
Le Salaire du péché (1956, 1h42)
Retour de manivelle (1957, 1h58)
Les Grandes familles (1958, 1h32)
Rue des Prairies (1959, 1h31)
Un taxi pour Tobrouk (1961, 1h33, VFSTA) Le Bateau d’Émile (1962, 1h41)
Le Tonnerre de Dieu (1965, 1h30)
Le Voyage du père (1966, 1h25)
Le Tatoué (1968, 1h30)

Festival Lumière 2023 : rétrospective – Robert Altman – Le grand cirque

Robert Altman s’impose comme l’un des plus importants réalisateurs américains de la deuxième partie du XXe siècle. Ce n’est qu’à 45 ans que le cinéaste rencontre succès et reconnaissance avec M*A*S*H (1970), géniale et truculente comédie antimilitariste qui obtient la Palme d’or et s’installe en haut des box-offices de l’année. Robert Altman revisite les genres, leur insufflant le réalisme auquel il est attaché, et en questionnant de façon critique et satirique les valeurs américaines qui s’y attachent : western (John McCabe, 1971, Buffalo Bill et les Indiens, 1976), film noir (Le Privé, 1973) etc. Il dirige des stars comme Warren Beatty, Sissy Spacek, Paul Newman ou Meryl Streep, et aussi une série de comédiens fidèles qui forment presque une troupe : Elliot Gould, Keith Carradine, Tim Robbins, Shelley Duvall, Lily Tomlin. Avec le succès de The Player (1992), réjouissante satire d’Hollywood, il se remet en selle, ce qui lui permet de réaliser un projet ancien qui lui tenait à cœur : Short Cuts (Lion d’or en 1993), film choral prestigieux sur fond de montage virtuose de nouvelles de Raymond Carver. Il ne cessera de tourner jusqu’à sa mort, laissant plusieurs œuvres émouvantes et partiellement autobiographiques, comme Kansas City (1996) ou The Last Show (2006). L’empreinte d’un géant humaniste, farouchement indépendant, qui n’a cessé de tendre un miroir à l’Amérique.

M*A*S*H (1970, 1h56)
John McCabe (McCabe & Mrs. Miller, 1971, 2h01, int -12ans)
Le Privé (The Long Goodbye, 1973, 1h52)
Nous sommes tous des voleurs (Thieves Like Us, 1974, 2h02, int -12ans)
Nashville (1975, 2h40)
Buffalo Bill et les Indiens (Buffalo Bill and the Indians or Sitting Bull’s History Lesson, 1976, 2h03) Trois femmes (3 Women, 1977, 2h04)
The Player (1992, 2h04)
Short Cuts (1993, 3h08)

Kansas City (1996, 1h56)

Cookie’s Fortune (1999, 1h59)

Gosford Park (2001, 2h17)

Festival Lumière 2023 : histoire permanente des femmes cinéastes : Ana Mariscal

Ana Mariscal nait à Madrid en 1923. Étudiante en sciences et destinée à l’enseignement, elle est repérée à l’occasion d’un casting que passe son frère. Elle entame une carrière d’actrice au cinéma en 1940, et rencontre le succès dans Raza de José Luis Sáenz de Heredia (1942), scénarisé sous pseudonyme (Jaime de Andrade) par Franco lui-même. L’année suivante, son roman Hombres qui s’attaque à l’institution du mariage est interdit et ne sera publié qu’en 1992. La comédienne déclenche à nouveau un scandale en 1945 lorsqu’elle interprète le rôle masculin de Don Juan Tenorio dans la pièce de José Zorrilla. Son audace fut jugée irrévérencieuse et aberrante par une partie des intellectuels, au point de déclencher un procès littéraire avec un tribunal composé de personnalités de l’époque. En 1953, la comédienne intervient une nouvelle fois dans un milieu réservé jusque-là aux hommes : souhaitant passer derrière la caméra et avoir une indépendance financière, elle crée avec son compagnon la société de production Bosco Films. Ana Mariscal devient ainsi réalisatrice, et ses films Segundo López (1953), Con la vida hicieron fuego (1959) et Le Chemin (1964) éblouissent par leur sincérité ou leurs choix esthétiques et narratifs singuliers. Ana Mariscal est l’une des premières cinéastes espagnoles, pionnière dans la production, qui à force de détermination a défendu sa carrière. Encore trop peu considérée dans l’histoire du cinéma espagnol, elle reste une découverte réjouissante !

Des restaurations proposées par la Filmoteca española.

Segundo López (Segundo López, aventurero urbano, 1953, 1h20) Con la vida hicieron fuego (1959, 1h17)
La quiniela (1960, 1h24)
Le Chemin (El camino, 1964, 1h31)

Festival Lumière 2023 : Ozu rares ou inédits

Yasujiro Ozu (1903-1963) est le cinéaste de chevet d’un grand nombre de réalisateurs, dont le Prix Lumière 2023, Wim Wenders, qui lui consacre un film, Tokyo-Ga, en 1985. À l’occasion des 120 ans de sa naissance et des 60 ans de sa mort, le festival présente six de ses œuvres en restaurations inédites, avant une grande rétrospective à l’Institut Lumière cet hiver. Les spectateurs du festival pourront découvrir pour la première fois dans les salles obscures françaises Une femme dans le vent avec Kinuyo Tanaka, actrice et réalisatrice honorée au festival en 2021; Femmes et voyous, film muet inédit depuis plus de 30 ans. Mais aussi Il était un père en exclusivité dans une nouvelle version, et d’autres restaurations : Les Sœurs Munakata et Dernier caprice, l’un des films préférés des admirateurs d’Ozu.

Des restaurations Shochiku et Toho, distribuées et éditées en France par Carlotta Films.

Femmes et voyous (Hijosen no onna, 1933, 1h41)
Il était un père (Chichi ariki, 1942, 1h32)
Récit d’un propriétaire (Nagaya shinshiroku, 1947, 1h12)
Une femme dans le vent (Kaze no naka no mendori, 1948, 1h24) Les Sœurs Munakata (Munekata kyodai, 1950, 1h52)
Dernier caprice (Kohayagawa-ke no aki, 1961, 1h43)

Les invités du Festival Lumière 2023

Wes Anderson

Avec son style visuel singulier, reconnaissable entre tous, Wes Anderson signe des fables cocasses et élégiaques, alternant volontiers, et avec la même minutie, animation et prises de vues réelles. Wes Anderson présentera au festival Lumière quelques-uns de ses films et son nouveau court métrage, La Merveilleuse histoire de Henry Sugar.

Rushmore (1998, 1h34)
À bord du Darjeeling Limited (The Darjeeling Limited, 2007, 1h31) Moonrise Kingdom (2012, 1h34)
The Grand Budapest Hotel (2014, 1h39)

L’Île aux chiens (Isle of Dogs, 2018, 1h41)
La Merveilleuse histoire de Henry Sugar (The Wonderful Story of Henry Sugar, 2023, 40min) Master class
Une soirée avec Wes Anderson à l’Auditorium de Lyon

Marisa Paredes

C’est une « grande » d’Espagne, l’une des muses de Pedro Almodóvar, pour qui elle tourne six fois, magnifique dans Talons aiguilles ou La Fleur de mon secret. Pour le cinéaste, elle incarne le parangon de la femme artiste, diva, actrice ou écrivaine, forte en façade, fragile dans sa vie amoureuse. Elle a été également dirigée par Fernando Trueba, Arturo Ripstein ou Roberto Benigni.

Prison de cristal d’Agustí Villaronga (Tras el cristal, 1986, 1h51, int -16ans)
Talons aiguilles de Pedro Almodóvar (Tacones lejanos, 1991, 1h53)
L’Échine du diable de Guillermo del Toro (El espinazo del diablo, 2001, 1h47, int -12ans) Master class
Rencontre avec Marisa Paredes

Alexander Payne

Il a remporté deux fois l’Oscar du meilleur scénario, pour Sideways (2004) et The Descendants (2011), mettant son goût des dialogues ciselés au service de son ironie, jamais exempte d’émotion. Alexander Payne présentera en avant-première son huitième long métrage, The Holdovers, savoureuse réunion de trois laissés-pour-compte dans l’Amérique des années 1970.

Sideways (2004, 2h06)
The Descendants (2011, 1h54)
Nebraska (2013, 1h55)
Avant-première
Winter Break (The Holdovers, 2023, 2h13) Master class
Rencontre avec Alexander Payne

Karin Viard

Une véritable actrice populaire, passant de la comédie loufoque (comme L’Origine du monde en 2020) au réalisme dramatique. Une variété de jeu illustrée par les trois films très différents qu’elle présentera à Lyon, dont l’une de ses collaborations avec la regrettée Sólveig Anspach.

Lulu femme nue de Sólveig Anspach (2013, 1h27, VFSTA) Jalouse de David et Stéphane Foenkinos (2017, 1h47, VFSTA) L’Origine du monde de Laurent Lafitte (2020, 1h38, VFSTA) Master class
Rencontre avec Karin Viard

Taylor Hackford

Cinéaste à la riche carrière hollywoodienne, il aime les héros ordinaires plongés dans une Amérique en proie aux maux du XXe siècle : guerre froide (Soleil de nuit), ségrégation raciale (Ray, 2 Oscars en 2005), guerre des gangs (Les Princes de la ville) ou capitalisme débridé et jeux de pouvoir (L’Associé du diable). Bienvenue à Taylor Hackford! Remerciements à Park Circus, Sony US, The Walt Disney Company France, Universal Pictures France, Warner Bros.

Soleil de nuit (White Nights, 1985, 2h16)
Les Princes de la ville (Bound By Honor/Blood In Blood Out, 1993, 3h, int -16ans) L’Associé du diable (The Devil’s Advocate, 1997, 2h24, int -12ans)
Ray (2004, 2h32)
Master class
Rencontre avec Taylor Hackford

Clôture : invitation à Jean-Jacques Annaud

C’est le cinéaste des défis : tourner avec des ours ou des tigres, reconstituer l’incendie de Notre-Dame. Ou adapter l’inadaptable : un polar philosophique médiéval de l’érudit Umberto Eco. Jean-Jacques Annaud sera l’invité d’honneur de la séance de clôture et montrera la nouvelle restauration du Nom de la rose, devenu rare sur grand écran.

Le Nom de la rose de Jean-Jacques Annaud (1986, 2h12) Master class
Rencontre avec Jean-Jacques Annaud

Terry Gilliam

En 1995, le réalisateur de Brazil signait son plus gros succès à ce jour : une fable S.F. cinéphile, hommage à Chris Marker, avec Bruce Willis et Brad Pitt. L ́ex-Monty Python à l’imagination folle présentera une version restaurée de L’Armée des 12 singes, avant sa ressortie en salles et en vidéo par L’Atelier d’Images. Remerciements à L’Atelier d’Images

L’Armée des 12 singes de Terry Gilliam (Twelve Monkeys, 1995, 2h09) Master class
Rencontre avec Terry Gilliam

Patrick Bouchitey

Comédien singulier, curé génial de La Vie est un long fleuve tranquille, Patrick Bouchitey présentera son premier film en tant que réalisateur, récemment restauré et bien à son image : Lune froide est une comédie noire et iconoclaste, tirée des récits provocants de Charles Bukowski.

Lune froide de Patrick Bouchitey (1991, 1h30, interdit aux moins de 16ans)

Yamanaka par Rintaro

Sadao Yamanaka était l’un des principaux réalisateurs japonais des années 1930, dont seuls 3 films ont été retrouvés et ressortiront grâce à Bac Films. Pour rendre hommage à ce cinéaste considéré comme un génie, le maître de l’animation japonaise Rintaro (Galaxy Express 999, Metropolis) a adapté l’un de ses scénarios dans un magnifique court métrage, qu’il viendra présenter en personne !

Le Pot d’un million de ryo de Sadao Yamanaka (1935, 1h32) Jirokichi de Rintaro (Nezumikozo Jirokichi, 2023, 24min) Master class
Rencontre avec Rintaro

Michel Hazanavicius pour les 30 ans de La Classe américaine

C’est le plus culte des films cultes : le futur réalisateur de The Artist et OSS 117 s’est amusé à détourner les plus grands films Warner, “redialogués” avec loufoquerie. Pour les 30 ans du film : des projections en présence de Michel Hazanavicius.

La Classe américaine de Michel Hazanavicius et Dominique Mézerette (1993, 1h12)

Alfonso Cuarón rend hommage à Alain Tanner

Après avoir été honoré au festival en 2018, le réalisateur mexicain de Y tu mamá también, Gravity ou Roma revient au festival Lumière pour un hommage qu’il veut rendre au cinéaste suisse Alain Tanner. Remerciements aux Films du Camélia, Jupiter Films, Tamasa

Charles mort ou vif d’Alain Tanner (1969, 1h33)
La Salamandre d’Alain Tanner (1971, 2h, VFSTA)
Jonas qui aura 25 ans en l’an 2000 d’Alain Tanner (1976, 1h55, VFSTA)

Festival Lumière 2023 : avant-premières en présence des réalisateurs :

Le Cercle des neiges de J.A. Bayona (La sociedad de la nieve, 2023, 2h24) La Chimère d’Alice Rohrwacher (La chimera, 2023, 2h13)
La Passion de Dodin Bouffant de Tran Anh Hùng (2023, 2h14, VFSTA) Second tour d’Albert Dupontel (2023, 1h36)

Simple comme Sylvain de Monia Chokri (2023, 1h50)
La Zone d’intérêt de Jonathan Glazer (The Zone of Interest, 2023, 1h46)
Un silence de Joachim Lafosse (2023, 1h40, VFSTA)
Portraits fantômes de Kleber Mendonça Filho (Retratos fantasmas, 2023, 1h33)

Événements et célébrations

Tout la musique qu’il aime – concert symphonique en souvenir de Bertrand Tavernier

Voyage musical à travers le cinéma français – concert imaginé par Bertrand Tavernier, interprété par l’Orchestre national de Lyon (1h30) à l’Auditorium de Lyon.

Festival Lumière 2023 : nuit Star Wars à la Halle Tony Garnier

Pour la première fois en France, dans le cadre des célébrations liées aux 100 ans de Disney

Rogue One: A Star Wars Story de Gareth Edwards (2016, 2h13)
Star Wars épisode 4 : Un nouvel espoir de George Lucas (A New Hope, 1977, 2h05)
Star Wars épisode 5 : L’Empire contre-attaque d’Irvin Kershner (The Empire Strikes Back, 1980, 2h04) Star Wars épisode 6 : Le Retour du Jedi de Richard Marquand (Return of the Jedi, 1983, 2h11)

Festival Lumière 2023 : avant-première Hayao Miyazaki

Le Garçon et le Héron de Hayao Miyazaki (Kimitachi wa do ikiru ka, 2023, 2h05)

Hommage à Jane Birkin

Le Festival Lumière 2023 rendra hommage à la chanteuse et actrice disparue cette année.

Comédie ! de Jacques Doillon (1987, 1h22)
Boxes de Jane Birkin (2007, 1h44)
Jane par Charlotte de Charlotte Gainsbourg (Documentaire, 2021, 1h30)

Le nouveau film de Martin Scorsese

Killers of the Flower Moon de Martin Scorsese (2023, 3h26) Remerciements à Paramount

Variations sur Wanda

Variations sur Wanda de Barbara Loden par Jeanne Cherhal – Musique, lecture, projections (1h15) et projections de Wanda de Barbara Loden (1970, 1h37)

Centenaire Disney

Séance de célébration du centenaire autour de courts métrages rarement vus sur grand écran ou inédits (1h10) Nuit Star Wars à la Halle Tony Garnier
Disney au temps de Walt Disney : 4 classiques à découvrir sur grand écran
Le Livre de la jungle restauré à la Halle Tony Garnier

Lecture

Michel Ciment par Thierry Frémaux – Lecture de textes, extraits, hommages (1h30)

La Trilogie d’Apu

Pather Panchali/La Complainte du sentier de Satyajit Ray (Pather Panchali, 1955, 2h05) Aparajito/L’Invaincu de Satyajit Ray (Aparajito, 1956, 1h50)
Le Monde d’Apu de Satyajit Ray (Apur Sansar, 1959, 1h45)
Remerciements aux Acacias

Hommage à Jacques Rozier

Maine-Océan de Jacques Rozier (1986, 2h15, VFSTA)

Terre !

Marée noire et colère rouge de René Vautier (Documentaire, 1978, 1h06)

Nuit Kenji Misumi – La lame à l’œil

Zatoïchi, le masseur aveugle de Kenji Misumi (Zatôichi monogatari, 1962, 1h36) Tuer de Kenji Misumi (Kiru, 1962, 1h11)
Le Sabre de Kenji Misumi (Ken, 1964, 1h35)
La Lame diabolique de Kenji Misumi (Ken ki, 1965, 1h34)

Sublimes moments du muet

En hommage à la grandeur du cinéma muet, des films majoritairement présentés en ciné-concerts accompagnés par l’Orchestre national de Lyon, à l’orgue ou au piano. Au programme : le chef-d’œuvre fondateur de l’expressionnisme allemand de Robert Wiene, Le Cabinet du docteur Caligari; un mélodrame d’Alfred Hitchcock, The Manxman; Adieu, Mascotte, une pépite réjouissante de Wilhem Thiele; mais aussi des films de Jean Renoir, Yasujiro Ozu, Albert Capellani et des trésors du burlesque avec les restaurations du Keaton Project.

Deux ciné-concerts à l’Auditorium de Lyon

Cabinet du docteur Caligari de Robert Wiene accompagné par l’Orchestre national de Lyon dirigé par Franck Strobel
The Manxman d’Alfred Hitchcock, accompagné à l’Orgue par Gabriele Agrimonti

Pépites du cinéma muet
Le Nabab d’Albert Capellani (1913, 55min, STA) Tire au flanc de Jean Renoir (1928, 1h54, STA) Adieu, Mascotte de Wilhelm Thiele (1929, 1h26)

Buster Keaton !
Le Figurant d’Edward Sedgwick et Buster Keaton (Spite Marriage, 1929, 1h16)

Programme de 3 courts métrages (1921-1923, 1h21) :
Frigo capitaine au long cours de Buster Keaton et Eddie Cline (The Boat, 1921, 30min) Frigo à l’Electric Hotel de Buster Keaton et Eddie Cline (The Electric House, 1922, 24min) Malec aéronaute de Buster Keaton et Eddie Cline (The Balloonatic, 1923, 27min)

Ozu muet
Femmes et voyous de Yasujiro Ozu (Hijosen no onna, 1933, 1h41)

Lumière Classics

Le label Lumière Classics a été créé afin de valoriser les plus belles restaurations de l’année de films du XXe siècle et accompagner leur (re)découverte. Les films labellisés sont présentés en exclusivité au festival dans la section « Nouvelles restaurations » mais aussi dans d’autres sections du festival. Ce label met en valeur l’étendue du travail accompli par les archives, cinémathèques, ayants droit et fondations afin de restaurer des classiques de l’histoire du cinéma mais aussi des films plus méconnus, tout aussi essentiels au paysage cinématographique mondial.

Classiques

Orages de William Wyler (A House Divided, 1931, 1h10) Restauration 4K Universal Pictures USA

Adieu Chérie de Raymond Bernard (1946, 1h50, VFSTA)
Restauration 4K TF1 Studio et les Productions Jacques Roitfeld, avec le soutien du CNC. Ressortie vidéo par Coin de Mire

Sans pitié d’Alberto Lattuada (Senza pietà, 1948, 1h30)
Restauration 4K par Cristaldi Film au laboratoire L’Immagine Ritrovata – Cineteca di Bologna avec le soutien du Ministère italien de la culture

Fear and Desire de Stanley Kubrick (1953, 1h12)
Version originale de Stanley Kubrick de 10 minutes supplémentaires. Restauration 4K par Kino Lorber, en collaboration avec la Library of Congress

Boulevard de Julien Duvivier (1960, 1h36, VFSTA) Restauration 4K Pathé, avec le soutien du CNC

Le Voyeur de Michael Powell (Peeping Tom, 1960, 1h41)
Restauration Studiocanal. Ressortie en salles et en vidéo par Les Acacias I… comme Icare d’Henri Verneuil (1979, 2h08)
Restauration 2K Gaumont

L’Enfer des armes de Tsui Hark (Di yi lei xing wei xian, 1980, 1h35, int -12ans) Restauration 2K Spectrum Films. Ressortie en salles et en vidéo par Spectrum Films

Vivement dimanche ! de François Truffaut (1983, 1h51, VFSTA)
Restauration 4K MK2, avec le soutien du CNC. Ressortie en salles et édition Blu-ray par Carlotta Films

Let’s Get Lost de Bruce Weber (Documentaire, 1988, 2h).
Restauration 4K Hanway Films – Ressortie par The Jokers Films pour les 35 ans du film

Trésors et curiosités

États-Unis
Bushman de David Schickele (1971, 1h15)
Restauration 4K par l’Université de Californie, Berkeley, le Art Museum, la Pacific Film Archive et la Film Foundation Ressortie en salle et édition DVD début 2024 par Malavida

France
Cinq tulipes rouges de Jean Stelli (1949, 1h37, VFSTA) Restauration 4K Pathé

Le Jardin qui bascule de Guy Gilles (1975, 1h32) Restauration 4K TF1 Studio. Edition Blu-Ray par Arte Video

Argentine
L’Homme au coin du mur rose de René Mugica (Hombre de la esquina rosada, 1962, 1h11)
Restauration 4K Cubic, en partenariat avec la Society for Audiovisual Heritage et le soutien du Ministère de la Culture de Buenos Aires

Hongrie
Peut-être demain de Judit Elek (Majd holnap, 1980, 1h45) Restauration 4K par le National Film Institute Hungary-Film Archive

Estonie
A Woman Heats the Sauna d’Arvo Kruusement (Naine kütab sauna, 1979, 1h09) Restauration Estonian Film Institute

Suisse
Le Village près du ciel de Leopold Lindtberg (The Village, 1953, 1h33)
Restauration 4K Cinémathèque suisse avec la collaboration de la SRF et le soutien de Memoriav

Corée du Sud
Une ville natale de Yoon Yong-gyu (Ma-eum-ui go-hyang, 1949, 1h18) Restauration Korean Film Archive et Image Power Station

Portugal
Les Îles enchantées de Carlos Vilardebó (As ilhas encantadas, 1965, 1h30)
Restauration Cinemateca Portuguesa – Museu do Cinema dans le cadre du projet FILMar, soutenu par l’Espace économique européen

Slovaquie
Dragon est de retour d’Eduard Grečner (Drak sa vracia, 1968, 1h25) Restauration Slovak Film Institute

Italie
Le Grand duel de Giancarlo Santi (Il grande duello, 1972, 1h38)
Restauration par la Fondazione Cineteca di Bologna en collaboration avec Surf Film avec l’aide du Ministère Italien de la culture

Pologne
La Clepsydre de Wojciech Has (Sanatorium pod Klepsydrą, 1973, 2h04)
Restauration 4K Fixafilm
Madagascar
Tabataba de Raymond Rajaonarivelo (1988, 1h18)
Restauration par la Cinémathèque française, la Cinémathèque Afrique de l’Institut français et Raymond Rajaonarivelo avec le soutien d’Hiventy

Albanie
Une fable de jadis de Dhimitër Anagnosti (Përralle nga e kaluara, 1987, 1h28) Restauration 2K Albanian Film Archive

Autres films de la programmation ayant obtenu le label Lumière Classics

Le Nabab d’Albert Capellani (muet, 1913, 55min) – section Sublimes moments du muet Restauration 4K Fondation Jérôme Seydoux-Pathé avec le soutien du CNC

Tire au flanc de Jean Renoir (muet, 1928, 1h54) – section Sublimes moments du muet
Restauration 4K Les Films du Panthéon en collaboration avec Les Films du Jeudi et avec le soutien du CNC

Adieu, Mascotte de Wilhelm Thiele (muet, 1929) – section Sublimes moments du muet Restauration 2K Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung

Le Pot d’un million de ryo de Sadao Yamanaka (1935, 1h32) – Invitation à Rintaro
Restauration Nikkatsu et Japan Foundation Ressortie prochainement par Bac Films. Le film sera accompagné du court métrage Jirokichi de Rintaro (Nezumikozo Jirokichi, 2023, 24min)

Bellissima de Luchino Visconti (1951, 1h48) – section Grands classiques en noir et blanc
Restauration 4K CSC-Cineteca Nazionale en collaboration avec Compass film. Droits France : Les Films du Camélia

Mort d’un cycliste de Juan Antonio Bardem (1955, 1h24) – section Grands classiques en noir et blanc Restauration 4K Video Mercury Films. Droits France : Tamasa

Festival Lumière 2023 : événement La trilogie d’Apu

Pather Panchali/La Complainte du sentier de Satyajit Ray (1955, 2h05)
Aparajito/L’Invaincu de Satyajit Ray (1956, 1h50)
Le Monde d’Apu de Satyajit Ray (1959, 1h45)
Restaurations 4K L’Imagine Ritrovata, supervisées par l’Académie des Oscars. Ressortie par Les Acacias le 29 novembre 2023

Le Cri de Michelangelo Antonioni (1957, 1h57) – section Grands classiques en noir et blanc
Restauration The Film Foundation et Compass Film, avec le soutien de Hobson/Lucas Family Foundation. Droits France : SND-Tamasa

Festival Lumière 2023 : événement Nuit Misumi

Zatoïchi, le masseur aveugle de Kenji Misumi (1962, 1h36)
Tuer de Kenji Misumi (1962, 1h11)
Le Sabre de Kenji Misumi (1964, 1h35)
La Lame diabolique de Kenji Misumi (1965, 1h34)
Restauration 4K. Ressortie par The Jokers Films le 25 octobre 2023, sortie d’un coffret collector « Kenji Misumi, la lame à l’œil » éditions UHD-4K & Blu-ray accompagné d’un livret de Robin Gatto

Marée noire et colère rouge de René Vautier (1978, 1h06) – section Terre !
Restauration 4K Ciaofilm avec le soutien du CNC, du Conseil régional de Bretagne et de la Cinémathèque de Bretagne

Chambre 666 de Wim Wenders (1982, 47min) – Wim Wenders, Prix Lumière
Restauration 2K Fondation Wim Wenders avec le soutien de la Cinémathèque de Bologne, Steven Spielberg, Genoma Films et une campagne de financement participatif. Distribution Films du Losange

Le Nom de la rose de Jean-Jacques Annaud (1986, 2h10) – Invitation à Jean-Jacques Annaud
Restauration 4K par Constantin Film et TF1 Studio avec le soutien de la FFA. Ressortie par Les Acacias au 1er trimestre 2024

Lune froide de Patrick Bouchitey (1991, 1h30) – Invitation à Patrick Bouchitey Restauration 4K par Gaumont et Studio Lavabo. Ressortie prochainement par Malavida

Festival Lumière 2023 : documentaires sur le cinéma

Pour se plonger dans l’Histoire du cinéma, une sélection de documentaires inédits. Des histoires passionnantes (dont celle de Lynda Myles, programmatrice, par Mark Cousins), des biographies (de James Stewart à Federico Fellini en passant par Daniel Prévost ou Dorothy Arzner)… Indispensable pour prolonger sa découverte de l’Histoire du cinéma

Remerciements à Acqua Alta, Anapol Productions, GM2M Production, Haut et Court, JC Productions, L’Atelier d’Images, Nilaya Productions, OCS, Paper Moon, Selkie Productions, Wichita Films.

James Stewart, l’ami américain d’Éric Paccoud (2022, 1h09)
Bande de ringards de Julien Camy (2023, 52min)
Cinema Has Been My True Love: The Work and Times of Lynda Myles de Mark Cousins (2023, 1h16) Dorothy Arzner, une pionnière à Hollywood de Clara Kuperberg et Julia Kuperberg (Dorothy Arzner, Pioneer, Queer, Feminist, 2023, 53min)
Fellini, confidences retrouvées de Jean-Christophe Rosé (2023, 1h02)
Joseph Losey l’outsider de Dante Desarthe (2023, 1h)
Keiko Kishi, une femme libre de Pascal-Alex Vincent (2023, 52min)
Martin Scorsese, l’Italo-Américain de Yal Sadat et Camille Juza (2023, 53min)
Valerio Zurlini peintre des sentiments de Sandra Marti (2023, 52min)

Festival Lumière 2023 : des sections permanentes pour revisiter l’histoire du cinéma :

Cultes !

De la science-fiction, de l’action, des polars, des films d’aventures, des thrillers, des frissons. Le rendez-vous pour les amateurs de films cultes : des films mythiques à (re)voir absolument au cinéma !
Remerciements à Park Circus, Universal Pictures France, The Walt Disney Company France, Warner Bros.

Scarface de Brian De Palma (1983, 2h50, int -12ans)
Le Silence des agneaux de Jonathan Demme (The Silence of the Lambs, 1991, 1h59, int -16ans)
Reservoir Dogs de Quentin Tarantino (1992, 1h39, int -16ans)
Gladiator de Ridley Scott (2000, 2h35)
Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl de Gore Verbinski (Pirates of the Caribbean: The Curse of the Black Pearl, 2003, 2h23)
Eternal Sunshine of the Spotless Mind de Michel Gondry (2004, 1h48)
Mad Max: Fury Road de George Miller (2015, 2h)

Grands classiques du noir et blanc

Des toiles de maîtres exposées dans les grands musées d’art, et des grands classiques projetés au festival Lumière ! Parce que vous avez peut-être déjà vu ces films, mais jamais dans ces conditions (en séances présentées, sur grand écran, dans leur dernière restauration), le festival propose une sélection de monuments de l’Histoire du cinéma.

New York-Miami de Frank Capra (It Happened One Night, 1934, 1h45) La Bête humaine de Jean Renoir (1938, 1h40, VFSTA)
Rebecca d’Alfred Hitchcock (1940, 2h10)
Bellissima de Luchino Visconti (1951, 1h48)

Mort d’un cycliste de Juan Antonio Bardem (Muerte de un ciclista, 1955, 1h24) Le Cri de Michelangelo Antonioni (Il grido, 1957, 1h57)
La Garçonnière de Billy Wilder (The Apartment, 1960, 2h05)
Persona d’Ingmar Bergman (1966, 1h23)

Une section exceptionnelle pour revisiter l’histoire du festival en 5 films qui l’ont marqué les 15 ans

L’Épouvantail de Jerry Schatzberg (Scarecrow, 1973, 1h52, int -12ans)
L’Exorciste (director’s cut) de William Friedkin (The Exorcist (director’s cut), 1973, 2h13, int -12ans) 1900 de Bernardo Bertolucci (Novecento, 1976, 5h17 – 1re partie 2h43, 2e partie 2h34, int -16ans) La Porte du paradis de Michael Cimino (Heaven’s Gate, 1980, 3h36)
Reds de Warren Beatty (1981, 3h15)

Le festival Lumière 2023 pour les enfants

Séance famille à la Halle Tony Garnier

Le Livre de la jungle en VF de Wolfgang Reitherman (The Jungle Book, 1967, 1h20) Centenaire Disney – Disney au temps de Walt Disney

Cendrillon en VF de Clyde Geronimi, Wilfred Jackson et Hamilton Luske (Cinderella, 1950, 1h18)
Alice au pays des merveilles en VF de Clyde Geronimi, Wilfred Jackson et Hamilton Luske (Alice in Wonderland, 1951, 1h15)
Merlin l’enchanteur en VF de Wolfgang Reitherman, Clyde Geronimi et David Hand (The Sword in the Stone, 1963, 1h20)
Mary Poppins en VF et en VOSTF de Robert Stevenson (1964, 2h19)

Burlesque : Buster Keaton
Le Figurant d’Edward Sedgwick et Buster Keaton (Spite Marriage, 1929, 1h16) Programme de 3 courts métrages (1921-1923, 1h21)

Autre film
Moonrise Kingdom de Wes Anderson (2012, 1h34)

Festival Lumière 2023 – Grand Lyon Film Festival :
Horaires – Tarifs – Informations

Institut Lumière

📍Rue du Premier film

69008 Lyon

www.festival-lumiere.org
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Dates et horaires :

  • du samedi 14 Octobre 2023 au dimanche 22 octobre 2023

Tarifs :

Selon les séances et les projections

Sorties à Lyon

Découvrez les autres temps forts de l’actualité culturelle lyonnaise, sur le guide pour sortir à Lyon : Epoqu’Auto Lyon 2023 – salon voitures anciennes à Eurexpo : les dates et le programme